Qui est Melle C. ?

Je suis une jeune femme de 25 ans, ayant découvert le monde du SM a 18 ans tout juste. Alors que cette pratique semble etre a la mode, certains sont  vivement interessés, beaucoup voient cette sexualité comme une perversité condamnable tandis que d'autres pensent qu'il suffit d'acheter une cravache pour devenir Maitre SM...
En tous les cas, beaucoup s'interrogent sur ce milieu, a savoir qui "nous" sommes vraiment et ce que "nous" y faisons. Sommes nous tous des tortionnaires en puissance déguisés en Drag Queen vétue de latex?! Non! En tout cas, pas moi!
Beaucoup de sites traitent du SM, beaucoup se disent seuls et véritables adeptes, mais je ne me reconnais dans aucun d'eux et si d'autres font le meme constat, peut etre est ce parce que nous partageons la meme vision de cette sexualite si particuliere?
Et dans ce cas, voici quelques articles qui vous permettront de mieux me cerner:

M'ecrire: alienesblog@gmail.com

Melle C.

NOTA: Tous les textes présents ici sont MA propriété exclusive. Certains passages de la partie "1- Présentation du SM" sont tirés d'encyclopédies en ligne telles que wikipédia réarrangés a ma sauce. Normalement, vous ne trouverez donc pas ces textes ailleurs sur la toile, si c'est le cas, merci de m'avertir.

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Dimanche 1 novembre 7 01 /11 /Nov 17:15

Mon agent immobilier/bricoleur/soumis a mérité une bonne correction (épisode 5) : il m'a poussée à découvrir ses penchants SM, puis se rétracte lorsqu'il se rend compte que je pourrais effectivement être celle qui tient les rênes.

 



Mercredi, 20h tapantes, Fabien arrive pour finir la peinture de la pièce principale. Je le reçois en jeans et ballerines. Je n'allais tout de même pas lui sortir tout un attirail de Maîtresse SM grotesque ! De toutes façons, je n'en possède pas !

Comme toujours, nous restons assez silencieux, et je ne laisse rien paraitre quant à la tournure que prendra la soirée.

Pour le perturber plus encore, je le laisse travailler 3/4 d'heure sans lui prêter attention. Je bouquine sans lui adresser un seul regard, mais je remarque qu'il est très méticuleux dans sa tâche. Aurait-il peur de faire quelques bavures et de mériter une punition accentuée ?

21 h, l'entrée sonne. Il se retourne, visiblement inquiet. À quoi s'attend-il ? À voir débarquer une dizaine de personnes en tenue SM pour une soirée domination improvisée ?

— Allez ouvrir.

Il trottine jusqu'à la porte, paie le livreur et revient avec un (seul) plat chaud indien. Je lui ordonne d'aller se laver les mains puis sors une paire de couverts de mon sac et les lui tends.

— Tenez. Je veux que vous dépiautiez mon bœuf. Je déteste les morceaux gras ou filandreux. Faites vite, j'ai horreur de manger froid.

— Oui Mademoiselle.

Il s'attable et trie minutieusement mon assiette, écarte les quartiers déclassés sur le rebord. Je m'assieds face à lui et attrape violemment mon plat.

— Retournez travailler à présent.

Fabien retourne à sa tache, et jette de temps en temps un regard par-dessus son épaule, tandis que je mange dans une extrême lenteur. Je vérifie chaque morceau individuellement. Il a fait du très bon boulot.

— Venez à moi.

Il s'approche et se plante devant moi.

— À quatre pattes par terre.

Je lui jette les quelques morceaux de gras à même le sol (sale).

— Voilà votre ration. J'espère que ce sera bon. Il n'y a ni sel ni poivre, mais les poussières de plâtre feront sans doute l'affaire.

Il me lance un regard interrogateur, semble t'il croire que je plaisante ? Pour toute réponse, j'appuie sur sa tête avec mon pied droit.

— Maintenant que vous avez le museau tout sale, dégustez !

Je le regarde manger sans utiliser ses mains. Il fait un bruit de chien.

— C'est froid et c'est immonde, hum ?

— Oui Mademoiselle.

— Débarrassez mon plat et votre écuelle, il est temps de passer a autre chose. Vous souvenez-vous de ce que vous avez mérité ? Il est l'heure de recevoir une bonne correction. On ne dévergonde pas une jeune femme impunément. Tout se paie, surtout avec moi ! Mettez-vous nu comme un ver, à plat ventre sur la table.

Il s'exécute rapidement, ôte ses vêtements en titubant, tout fébrile qu'il est.

— Regardez donc moi ça ! Il suffit que l'on hausse un peu le ton pour que vous vous exécutiez ! Vous avez été à bonne école, n'est-ce pas ?

— Oui mademoiselle, on m'a déjà bien éduqué.

— Et c'est à moi de parfaire !

— Si vous le désirez, Mademoiselle, je vous avoue que j'aimerais beaucoup être votre élève.

— Pour le moment, vous n'êtes qu'un vilain, très vilain Monsieur qui dévergondez les demoiselles. Qu'auriez-vous fait, si je n'avais pas compris votre allusion ?

— J'aurais laissé tomber Mademoiselle.

— En êtes-vous certain ? N'auriez-vous pas tenté encore quelques fois de me faire comprendre que vous aimez que l'on vous martyrise ?? Dites-moi la vérité !

— Vous avez raison, Mademoiselle. Je vous aurais peut-être tout avoué.

— Sale petit pervers ! Combien d'autres jeunes filles ont déjà vécu ce petit manège ??

Je mène ce petit interrogatoire tandis que je suis debout derrière lui, penché sur la table. J'ai une vue dégagée sur ces fesses bien musclées et bronzées.

— Aucune Mademoiselle. C'est juste que...

— Que ?

— Que... que j'avais senti quelque chose...

— Et quoi donc ??

— Que vous n'êtes pas ...

— Pas quoi ? Pas normale???!

Je vois rouge. Me prend-il pour une prostituée ? Une étudiante qui vend ses charmes pour arrondir ses fins de mois ?!

— Pas comme les autres jeunes femmes de votre âge Mademoiselle.

— C'est à dire ?!

Je m'énerve de plus en plus, et il le sent. Joue t'il avec mes nerfs à dessein ?

— Les autres sont... des allumeuses sans expérience.

Je lui plante ma fourchette dans le gras du cul. Il sursaute et crie de douleur, mêlée de surprise.

— Ne critique pas les autres femmes ! Tu leur dois le respect, autant qu'à moi !

— Pardon Mademoiselle.

— On ne dit pas pardon, on le quémande !

— Je vous demande pardon, Mademoiselle.

— C'est mieux ainsi. Ça fait mal ?

— Oui Mademoiselle, ça brûle.

— Réfléchissez avant de parler, si vous ne voulez pas finir le cul percé.

— Oui Mademoiselle.

— Vous auriez donc un sixième sens qui vous permettrait de reconnaitre les adeptes ?

— sans aller jusque-là Mademoiselle, mais c'est à peu près cela.

— Une sorte... de flair ? Un peu comme un... chien... ?

— Oh, oui Mademoiselle.

Il frétille de plus en plus. Se voir comparé a un tel animal semble beaucoup l'exciter, je ne vais pas passer à côté !

— Ah, sale vicieux, voila qu'à présent, j'apprends que vous vous sentez l'âme d' un chien ! Sachez que les chiens sont mieux dressés que vous ! Mais nous allons combler cette lacune, faites-moi confiance !

Pour m'avoir dévergondée et s'être moqué des femmes, j'estime que vous devez subir une correction bien sentie. Vingt bonnes claques sur chaque fesse, voilà qui me semble approprié. Ensuite, nous verrons si vous êtes effectivement un chien !

Je viens me poster à côté de lui, m'assieds sur la table du bout des fesses et passe un bras autour de ses reins. Ma manche effleure le bas de son dos, et je le vois frissonner. Il est à l'écoute du moindre de mes mouvements, il ne va pas être déçu !

Je lève mon bras droit bien haut et lui assène une première claque. Il retient un cri et se crispe. Son cul est vraiment musclé, je vois deux creux très gracieux se dessiner sur chacune de ses fesses. Je les mordrais bien, mais je me retiens : je ne pose pas mes dents sur le premier cul venu. Question d'hygiène.

Je claque l'autre fesse, ma main est rouge et chaude, son cul également. Je vois l'empreinte de ma main apparaitre lentement sur ses miches.

— Comptez !

Il égrène les coups pendant que je continue à le fesser jusqu'à quarante sans m'arrêter, il semble un brin affolé par ces claques qui s'enchainent trop rapidement. Son cul rougit à vue d'œil, il tressaille, mais n'ose protester. J'ai mal au bras et son cul est boursouflé, je suis bien satisfaite de l'avoir marqué si fort. Je me relève et admire mon travail :

— Vous gémissiez comme une fille. Non, comme un chiot, n'est-ce pas ?

— Oui Mademoiselle, c'est si douloureux !

— Et vous vous plaignez avec ça ?! Relevez-vous, tordez-vous pour contempler votre train arrière.

Il s'exécute, je discerne de la surprise dans ses yeux. Il n'avait peut être pas imaginé qu'il marquerait ainsi.

— Dites merci et excusez-vous de m'avoir allumée !

 

— Merci Mademoiselle de m'avoir corrigé. Je l'avais mérité et je suis désolé de vous avoir fait comprendre que j'aime les femmes directives.

Melle C. 
Par Melle C. - Publié dans : 4- Mes Aliéné(e)s passé(e)s - Communauté : Dominatrice BDSM
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