Qui est Melle C.?

Je suis une jeune femme de 28 ans, ayant découvert le monde du SM a 18 ans tout juste. Alors que cette pratique semble etre a la mode, certains sont  vivement interessés, beaucoup voient cette sexualité comme une perversité condamnable tandis que d'autres pensent qu'il suffit d'acheter une cravache pour devenir Maitre SM...
En tous les cas, beaucoup s'interrogent sur ce milieu, a savoir qui "nous" sommes vraiment et ce que "nous" y faisons. Sommes nous tous des tortionnaires en puissance déguisés en Drag Queen vétue de latex?! Non! En tout cas, pas moi!
Beaucoup de sites traitent du SM, beaucoup se disent seuls et véritables adeptes, mais je ne me reconnais dans aucun d'eux et si d'autres font le meme constat, peut etre est ce parce que nous partageons la meme vision de cette sexualite si particuliere?
Et dans ce cas, voici quelques articles qui vous permettront de mieux me cerner:

M'ecrire: alienesblog@gmail.com

Melle C.

NOTA: Tous les textes présents ici sont MA propriété exclusive. Certains passages de la partie "1- Présentation du SM" sont tirés d'encyclopédies en ligne telles que wikipédia réarrangés a ma sauce. Normalement, vous ne trouverez donc pas ces textes ailleurs sur la toile, si c'est le cas, merci de m'avertir.

Recherche

Mercredi 4 novembre 3 04 /11 /Nov 17:28

La premiere fois que j'ai posé cette reflexion, c'était avec Fabien.

Ce soir-là, je me rends compte qu'importe l'homme, tant qu'il se soumet. Oui, c'est bien cela. L'homme peut être laid comme un pou et me révulser viscéralement, s'il est un bon soumis, alors notre relation me procurera du plaisir.
 

Bien sûr, lorsque l'homme que j'ai entre mes griffes me plait physiquement, la relation n'en est que plus intense, plaisante et excitante à vivre. C'est un plus, non négligeable, certes, mais pas indispensable.
 

Dans une relation classique, le physique me semble bien plus primordial que dans une relation SM. D'ailleurs, c'est bien souvent par ce biais que l'on se rencontre,et que l'on fait le premier pas : un homme, une femme nous plait, attire notre attention, par ses formes voluptueuses, son regard, son attitude, et nous nons décidons à provoquer les choses... D'autres critères entent aussi en jeu, mais ils viennent après cette première attirance exterieure.


Dans une relation D/S, le physique importe moins et c'est, je crois, valable pour les deux rôles. Le soumis, trop heureux d'avoir enfin trouvé une main sévère au bout de la cravache, ne regarde pas vraiment celui/celle qui la tient, tant qu'il la tient. Combien ai-je vu de Maîtresses franchement laides, qui avaient, malgré tout, bon nombre de soumis ? Combien ai-je vu d'hommes hétéros se remettre entre les mains d'un mâle, du moment que ce dernier soit dominateur ?
Dans une relation SM, quelle est l'importance du physique des deux ? Jusqu'à quel point peut-on faire des concessions pour trouver enfin un maître, ou un soumis ?
Cela vient du fait qu'il y a bien plus d'hommes soumis que de Maîtresses, et en de moindres mesures, de maîtres. Et, inversement, bien plus de maîtres que de soumises : les femmes n'ont, finalement, que l'embarras du choix, qu'elles soient soumises ou dominatrices, beaucoup d'hommes seront prêts à les vénérer, ou encore, à les fouetter.

Pour ma part, je privilégie les hommes physiquement à mon gout (pourquoi m'en priver ?), mais il arrive que certains éphèbes se montrent finalement sans intérêt, sans relief, alors que des Quasimodo se révèlent être d'excellents soumis, interessants et motivés, tout pour me plaire, finalement !

Melle C. 
Par Melle C. - Publié dans : 1- Présentation et reflexions autour du SM - Communauté : Dominatrice BDSM
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Lundi 2 novembre 1 02 /11 /Nov 08:23

Mon agent immobilier/bricoleur/soumis m'a dévoilé ses penchants SM (épisode 6) et je compte bien en profiter.

 
Fabien se masse le cul frénétiquement. Je me suis levée et lui tourne autour.

— Regardez-moi ça... Vous êtes ridicule. Vous l'êtes tellement que vous ne méritez plus le vouvoiement.

Je laisse quelques secondes s'écouler.

— Tu es un vrai pervers, dévergondé et déviant ! Plus je t'insulte, et plus tu bandes, hein ?

Je le retourne violemment. Il bande, bien sûr. Il a baissé la tête, je lui attrape le menton et plonge son regard dans le sien.

— Gros dégueulasse ! Tu n'affrontes même pas la réalité. Tu es une poule mouillée !

Je lui balance une gifle qui le déstabilise.

— Tu me provoques et tu n'assumes même pas les conséquences ! Dis-le que tu es un sacré dégueulasse : tu bouffes mes déchets à même le sol ! Avoues ta perversité, et va finir mon mur !

— Je... Vous... Je... J'aime être soumis, ma perversité n'a pas de limites et je suis désolé que vous en fassiez les frais. Je m'excuse encore une fois de mes vices. Je vous prie de m'excuser. Faites ce que vous voulez de moi, congédiez-moi si je vous dégoute. Bien sûr, je finirai les travaux.

— Arrête de te défiler, je n'ai jamais dit que ça me dégoutait. Va finir ton mur. Mais avant, je veux l'entendre de ta bouche. Tu es un gros...

— Dégueulasse ? Tente t'il.

— Tu en doutes ?

— Non Mademoiselle, je suis un gros dégueulasse, c'est vrai.

— File finir mon mur ! Et à poil !

 

Je le vois se dandiner nu comme un ver, quelques gouttes de peinture sur ses cuisses et ses bras, ce qu'il est ridicule. 
Je ne sais s'il m'excite ou me dégoute. Je crois qu'il me dégoute profondément. La situation m'excite, mais pas lui. 

 

Par Melle C. - Publié dans : 4- Mes Aliéné(e)s passé(e)s - Communauté : Dominatrice BDSM
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Dimanche 1 novembre 7 01 /11 /Nov 17:15

Mon agent immobilier/bricoleur/soumis a mérité une bonne correction (épisode 5) : il m'a poussée à découvrir ses penchants SM, puis se rétracte lorsqu'il se rend compte que je pourrais effectivement être celle qui tient les rênes.

 



Mercredi, 20h tapantes, Fabien arrive pour finir la peinture de la pièce principale. Je le reçois en jeans et ballerines. Je n'allais tout de même pas lui sortir tout un attirail de Maîtresse SM grotesque ! De toutes façons, je n'en possède pas !

Comme toujours, nous restons assez silencieux, et je ne laisse rien paraitre quant à la tournure que prendra la soirée.

Pour le perturber plus encore, je le laisse travailler 3/4 d'heure sans lui prêter attention. Je bouquine sans lui adresser un seul regard, mais je remarque qu'il est très méticuleux dans sa tâche. Aurait-il peur de faire quelques bavures et de mériter une punition accentuée ?

21 h, l'entrée sonne. Il se retourne, visiblement inquiet. À quoi s'attend-il ? À voir débarquer une dizaine de personnes en tenue SM pour une soirée domination improvisée ?

— Allez ouvrir.

Il trottine jusqu'à la porte, paie le livreur et revient avec un (seul) plat chaud indien. Je lui ordonne d'aller se laver les mains puis sors une paire de couverts de mon sac et les lui tends.

— Tenez. Je veux que vous dépiautiez mon bœuf. Je déteste les morceaux gras ou filandreux. Faites vite, j'ai horreur de manger froid.

— Oui Mademoiselle.

Il s'attable et trie minutieusement mon assiette, écarte les quartiers déclassés sur le rebord. Je m'assieds face à lui et attrape violemment mon plat.

— Retournez travailler à présent.

Fabien retourne à sa tache, et jette de temps en temps un regard par-dessus son épaule, tandis que je mange dans une extrême lenteur. Je vérifie chaque morceau individuellement. Il a fait du très bon boulot.

— Venez à moi.

Il s'approche et se plante devant moi.

— À quatre pattes par terre.

Je lui jette les quelques morceaux de gras à même le sol (sale).

— Voilà votre ration. J'espère que ce sera bon. Il n'y a ni sel ni poivre, mais les poussières de plâtre feront sans doute l'affaire.

Il me lance un regard interrogateur, semble t'il croire que je plaisante ? Pour toute réponse, j'appuie sur sa tête avec mon pied droit.

— Maintenant que vous avez le museau tout sale, dégustez !

Je le regarde manger sans utiliser ses mains. Il fait un bruit de chien.

— C'est froid et c'est immonde, hum ?

— Oui Mademoiselle.

— Débarrassez mon plat et votre écuelle, il est temps de passer a autre chose. Vous souvenez-vous de ce que vous avez mérité ? Il est l'heure de recevoir une bonne correction. On ne dévergonde pas une jeune femme impunément. Tout se paie, surtout avec moi ! Mettez-vous nu comme un ver, à plat ventre sur la table.

Il s'exécute rapidement, ôte ses vêtements en titubant, tout fébrile qu'il est.

— Regardez donc moi ça ! Il suffit que l'on hausse un peu le ton pour que vous vous exécutiez ! Vous avez été à bonne école, n'est-ce pas ?

— Oui mademoiselle, on m'a déjà bien éduqué.

— Et c'est à moi de parfaire !

— Si vous le désirez, Mademoiselle, je vous avoue que j'aimerais beaucoup être votre élève.

— Pour le moment, vous n'êtes qu'un vilain, très vilain Monsieur qui dévergondez les demoiselles. Qu'auriez-vous fait, si je n'avais pas compris votre allusion ?

— J'aurais laissé tomber Mademoiselle.

— En êtes-vous certain ? N'auriez-vous pas tenté encore quelques fois de me faire comprendre que vous aimez que l'on vous martyrise ?? Dites-moi la vérité !

— Vous avez raison, Mademoiselle. Je vous aurais peut-être tout avoué.

— Sale petit pervers ! Combien d'autres jeunes filles ont déjà vécu ce petit manège ??

Je mène ce petit interrogatoire tandis que je suis debout derrière lui, penché sur la table. J'ai une vue dégagée sur ces fesses bien musclées et bronzées.

— Aucune Mademoiselle. C'est juste que...

— Que ?

— Que... que j'avais senti quelque chose...

— Et quoi donc ??

— Que vous n'êtes pas ...

— Pas quoi ? Pas normale???!

Je vois rouge. Me prend-il pour une prostituée ? Une étudiante qui vend ses charmes pour arrondir ses fins de mois ?!

— Pas comme les autres jeunes femmes de votre âge Mademoiselle.

— C'est à dire ?!

Je m'énerve de plus en plus, et il le sent. Joue t'il avec mes nerfs à dessein ?

— Les autres sont... des allumeuses sans expérience.

Je lui plante ma fourchette dans le gras du cul. Il sursaute et crie de douleur, mêlée de surprise.

— Ne critique pas les autres femmes ! Tu leur dois le respect, autant qu'à moi !

— Pardon Mademoiselle.

— On ne dit pas pardon, on le quémande !

— Je vous demande pardon, Mademoiselle.

— C'est mieux ainsi. Ça fait mal ?

— Oui Mademoiselle, ça brûle.

— Réfléchissez avant de parler, si vous ne voulez pas finir le cul percé.

— Oui Mademoiselle.

— Vous auriez donc un sixième sens qui vous permettrait de reconnaitre les adeptes ?

— sans aller jusque-là Mademoiselle, mais c'est à peu près cela.

— Une sorte... de flair ? Un peu comme un... chien... ?

— Oh, oui Mademoiselle.

Il frétille de plus en plus. Se voir comparé a un tel animal semble beaucoup l'exciter, je ne vais pas passer à côté !

— Ah, sale vicieux, voila qu'à présent, j'apprends que vous vous sentez l'âme d' un chien ! Sachez que les chiens sont mieux dressés que vous ! Mais nous allons combler cette lacune, faites-moi confiance !

Pour m'avoir dévergondée et s'être moqué des femmes, j'estime que vous devez subir une correction bien sentie. Vingt bonnes claques sur chaque fesse, voilà qui me semble approprié. Ensuite, nous verrons si vous êtes effectivement un chien !

Je viens me poster à côté de lui, m'assieds sur la table du bout des fesses et passe un bras autour de ses reins. Ma manche effleure le bas de son dos, et je le vois frissonner. Il est à l'écoute du moindre de mes mouvements, il ne va pas être déçu !

Je lève mon bras droit bien haut et lui assène une première claque. Il retient un cri et se crispe. Son cul est vraiment musclé, je vois deux creux très gracieux se dessiner sur chacune de ses fesses. Je les mordrais bien, mais je me retiens : je ne pose pas mes dents sur le premier cul venu. Question d'hygiène.

Je claque l'autre fesse, ma main est rouge et chaude, son cul également. Je vois l'empreinte de ma main apparaitre lentement sur ses miches.

— Comptez !

Il égrène les coups pendant que je continue à le fesser jusqu'à quarante sans m'arrêter, il semble un brin affolé par ces claques qui s'enchainent trop rapidement. Son cul rougit à vue d'œil, il tressaille, mais n'ose protester. J'ai mal au bras et son cul est boursouflé, je suis bien satisfaite de l'avoir marqué si fort. Je me relève et admire mon travail :

— Vous gémissiez comme une fille. Non, comme un chiot, n'est-ce pas ?

— Oui Mademoiselle, c'est si douloureux !

— Et vous vous plaignez avec ça ?! Relevez-vous, tordez-vous pour contempler votre train arrière.

Il s'exécute, je discerne de la surprise dans ses yeux. Il n'avait peut être pas imaginé qu'il marquerait ainsi.

— Dites merci et excusez-vous de m'avoir allumée !

 

— Merci Mademoiselle de m'avoir corrigé. Je l'avais mérité et je suis désolé de vous avoir fait comprendre que j'aime les femmes directives.

Melle C. 
Par Melle C. - Publié dans : 4- Mes Aliéné(e)s passé(e)s - Communauté : Dominatrice BDSM
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 3 septembre 4 03 /09 /Sep 09:00
Cette recherche n'est plus d'actualité, j'ai trouvé un correcteur qui me donne entiere satisfaction... pour le moment ! 

N'ayant pas d'accents sur mon clavier et peu de temps pour utiliser un correcteur orthographique peu performant, je souhaite trouver une personne qui puisse relever mes coquilles et rajouter les accents manquants avant la publication de mes billets.


Il s'agit uniquement de relire et corriger mes histoires, et rien d'autre.

Si vous etes interessé par ce travail de correcteur, contactez moi par mail.
Par Melle C. - Communauté : SM: Domination/Soumission
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Mercredi 2 septembre 3 02 /09 /Sep 09:00
Mon agent immobilier et bricoleur du dimanche me laisse entendre (épisode 4) qu'il serait plutôt du genre à faire très, très plaisir à une femme, de quelques façons que ce soit...

Ce même dimanche après midi, je décide subitement (hum, hum) d'inspecter l'avancée des travaux. Sitôt entrée, je commence à scruter chaque mur encore vierge. Il se tient debout loin derrière moi et m'observe, sans se douter de ce que je lui prépare. Je décèle (difficilement) un petit accroc dans le plâtre puis quelques poils de pinceaux collés à la peinture toute fraîche, et déclare, toujours le dos tourné :

- Venez voir ici. il y a un trou mal rebouché. Et ici, une rayure. Ce plâtre n'est pas parfait. La, des poils ! Je vous croyais meilleur bricoleur.

Il ne dit rien, je me retourne : il a les yeux baissés, comme un enfant réprimandé.
- Vous vous rappelez, ce que je vous avais dit à la brasserie ?
- Oui.
- Qu'était-ce ?
- Je pourrais mériter une punition si les travaux ne sont pas a votre goût.
- J'ai parlé d'une fessée, plus précisément.
- ...
- Vous savez ce qu'est une fessée ?
- Oui... ?
- On va bien voir ça !

Je tire une chaise et m'assieds contre le mur, toujours face à lui.
- Allez admirez vos bêtises. Reconnaissez vos torts et venez devant moi... Cul nu !
Oh, ce qu'il est rouge de honte !! Je vois qu'il cherche à dire quelque chose, mais rien de sort. Puis, il semble retrouver de sa contenance :
- Mais, enfin, je croyais que vous plaisantiez tout a l'heure.
Il veut se défiler, mais je lui rappelle qu'il est à l'origine de cette mascarade :
-Qui a parlé de me servir ?? Dépêchez vous !!

Malhabile, il va observer le mur et tout aussi gauchement, il entreprend de descendre son jean. Bien sur, ça coince : il bande comme un âne, ce que je lui fais remarquer :
- Je vous croyais gêné, je me suis trompée ! Arrêtez de faire le malin, déshabillez vous !
Il se tortille dans tous les sens pour se défaire de son pantalon. Je peux enfin observer sa bite a la lumière. Elle est de taille moyenne, mais très épaisse. J'imagine qu'à cause de son épaisseur hors norme, elle me parait plus petite qu'elle ne l'est véritablement...
-Osez me prétendre que cette fessée ne vous plaît toujours pas !
- ... Si... Si, elle me plaît.
- Venez vous mettre en travers sur mes genoux !

Il s'installe, en prenant soin de ne pas s'affaler de tout son poids sur mes cuisses. Je lui en remercie intérieurement, car cette position n'est pas facile à tenir pour un petit gabarit tel que moi ! Ses fesses sont  lisses et claires, je déteste qu'il y ait trop de poils noirs, j'ai l'impression de fesser un singe !

- Alors, l'accroc, la rayure, les poils, ça fait beaucoup ! Dix claques ne seront pas de trop. Comptez !
Je lève la main, et l'abats une première fois. Il tressaute de surprise, déclare "un", puis attend le second coup en silence. Je le fesse consciencieusement , mais de façon modérée. Je vois son cul rougir et chauffer au fur et à mesure, c'est un petit délice.
- Dites merci pour votre punition, je ne vous ai pas fessé pour rien !
- Merci.
- Merci qui ?
- Maîtresse ?
- Non, "mademoiselle". Ai-je l'air mariée ? Et je ne suis pas votre maîtresse et j'ai horreur de ce terme, c'est grotesque !
- Merci de m'avoir corrigé Mademoiselle.
- Allez voir votre cul dans le miroir de la salle de bain et revenez me dire ce que vous en pensez.

Je le vois trottiner jusqu'à la glace, puis revenir quelques secondes plus tard, toujours tête baissée. Ce qu'il est ridicule, à se déplacer de façon si lourde et gauche !
- Regardez moi quand vous me parlez, c'est un minimum de respect à avoir envers la femme qui vous fesse !
- Et bien, c'était une fessée bien appuyée, et bien méritée. Je vous en remercie Mademoiselle.
- Comment est donc votre cul ?
- Il est très rouge, et très marqué. On peut compter vos doigts, mademoiselle.
- Et ça vous plaît ?
- Oui mademoiselle, mais j'ai honte d'éprouver autant de plaisir grâce à vous.
- Vous n'êtes qu'un sale pervers, et vous entraînez les jeunes femmes dans votre sillon. C'est normal d'avoir honte ! Vous devriez vous terrer dans une grotte et ne plus en ressortir. Ou réprimer vos envies en vous faisant moine ! Mais c'est bien moins drôle que de donner des envies de fessées a de jeunes étudiantes, n'est ce pas ?
- Oui mademoiselle, et j'en suis désolé. C'est de ma faute si vous avez du me fesser. J'ai fait des erreurs, et je vous ai suggéré que j'aimais cela.
- Cette menue fessée etait pour vous punir des maladresses commises sur mon mur. Vous reviendrez mercredi soir pour réparer vos bêtises. Pour m'avoir révélé votre penchant SM, faire amende honorable n'est pas suffisant.  Je réfléchirai à une punition plus appropriée. Vous avez voulu me dévergonder, vous allez être servi !

Melle C.
Par Melle C. - Publié dans : 4- Mes Aliéné(e)s passé(e)s - Communauté : plaisirs SM
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 31 août 1 31 /08 /Août 09:00

J'ai trouvé un studio et un bricoleur (épisode 3). Reste à savoir si le second fera l'affaire !

je vis toujours en collocation, en attendant que les travaux soient terminés. Cela fait une semaine que je n'ai plus de nouvelles de mon agent immobilier/bricoleur pour jeunes femmes esseulées. Je commence à penser qu'il s'est payé ma tête, mais pour quelle raison ? J'ai beau chercher, je reste dans le vague. Dans tous les cas, je ne le contacte pas. Au pire, je trouverai bien un camarade de Fac qui manie le rouleau !

Au bout de 10 jours, il m'appelle enfin, s'excuse platement de son silence et me demande s'il peut passer le soir même. Je me demande vraiment s'il compte venir pour faire les travaux, ou pour tenter de me baiser. Fabrice (puisque c'est son prénom) m'informe qu'il faudra d'abord passer dans un magasin de bricolage : il semble qu'il soit finalement question de bricoler !

Rassurée (ou peut être trop naïve), je le rejoins près d'une enseigne bien connue, au cœur de Paris. Nous faisons l'emplette d'une bâche, de pots de plâtre. Il dit avoir les outils nécessaires dans sa voiture. Il paie et me dit que je n'aurais plus qu'à envoyer les factures au propriétaire, puis à lui rembourser l'argent. Je le laisse faire, après tout, c'est lui le bricoleur !

J'entre dans mon nouveau chez moi, et bien que l'état soit repoussant, je suis heureuse de pouvoir me dire "chez moi" ! Il dépose la bâche, sort ses outils et commence à ôter la couche de plâtre  qui est fissurée sur le mur. Je ne sais pas trop quoi faire... Je me dis que venir pour le surveiller n'est pas faire preuve de confiance, alors qu'il est la pour m'aider. Je lui demande s'il veut de l'aide, il refuse aimablement.

Je vais faire un tour dans les combles, depuis le Velux, j'aperçois un minuscule morceau de la Tour Eiffel. Je me rappelle nos ébats : je chasse cette idée de ma tête et reviens vers lui, les murs abîmés sont à nu.

Il reviendra trois autres fois pour replâtrer les murs : je l'accompagnais, un livre à bouquiner entre les mains. Nous resterons silencieux, sans que jamais il n'y ait de gestes ou de propos équivoques. Il travaille et j'observe oisivement.

La cinquième fois, un dimanche matin, il m'explique qu'il vaut mieux repeindre les murs avant de poser le nouveau revêtement de sol. Nous partons donc en quête de quelques bidons de peinture claire, il paie de nouveau à la caisse, je ne suis que accompagnatrice.
Il travaillera toute la journée, mais je réussis à l'arracher une petite heure à ses travaux . Je l' invite à déjeuner, un peu pour le remercier de son travail. Je me sens mal à l'aise de profiter ainsi de ses capacités de bricoleur, mais il me rassure :
- J'aime vous faire plaisir. Et pour un peu, je regretterais d'avancer si vite. Je me suis habitué a venir vous servir pendant que vous m'observez.
Cette phrase me fait sursauter intérieurement. Ou plutôt, le verbe qu'il a employé : il vient me servir... Je ne laisse rien paraître et je tâte le terrain.
- Ça ne vous ennuie pas que je ne fasse rien ?
- Non, le bricolage, c'est une affaire d'hommes, une femme ne devrait pas s'abîme les mains et manier des outils et des produits chimiques.
- Vous n'avez pas tort.
- Vous n'êtes pas mieux, juste à contrôler l'avancée des travaux ?
Il me tend une perche que je ne saurais ignorer ! D'un ton badin et faussement léger, je réponds :
- Alors, au moindre défaut, gare à vous !
- Oh, et qu'est ce que je risque ?
Je tente le tout pour le tout. Il me semble que ses allusions sont assez claires, non ? Je baisse la voix, m'avance vers lui, et chuchote :
- Une bonne fessée.

Je le fixe, à l'affut de la moindre réaction : il devient rouge pivoine, fixe son assiette sans mot dire. Nous terminons notre repas dans cette ambiance fébrile et reprenons le chemin de l'appartement.

Melle C.

Par Melle C. - Publié dans : 4- Mes Aliéné(e)s passé(e)s - Communauté : SM: Domination/Soumission
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 30 août 7 30 /08 /Août 23:00
C'est la premiere fois que je passe par une annonce pour trouver un homme avec des competences particulieres, et je me demande encore comment expliciter du mieux possible ma requete...

Bonjour,

Je viens d'acquerir une petite maison a restaurer sur la cote normande du coté de Barfleur (50), et n'y connaissant rien en bricolage, je me dis qu'il serait interessant de joindre l'utile a l'agreable : vos compétences de macon/plombier/charpentier, en échange de mes coups de fouet.

Les professionnels du batiment ayant une facheuse tendance a augmenter leurs tarifs face a une demoiselle étrangere a tous travaux manuels, je me dis que le mieux est encore de trouver un professionnel (ou presque) qui, contre une relation SM, puisse m'offrir un travail de qualité.

Toute la plomberie est a revoir, les sols et les murs egalement (carellage, parquets, cloison, etc...), ainsi que l'isolation et la charpente du toit. Je n'y connais peut etre rien, mais je suis exigeante, et le moindre faux pas sera severement puni.

Je peux vous loger le temps d'un week end si la niche au fond du jardin, ou la dalle de beton du salon vous convient. Reveil au jet d'eau glacé garanti !

Contactez moi par e-mail si vous etes interessé et disponible en semaine ou en week end.




Par Melle C. - Publié dans : 5- Mes Aliéné(e)s présent(e)s - Communauté : plaisirs SM
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Jeudi 27 août 4 27 /08 /Août 09:00

En un après midi seulement (épisode 2), j'ai trouvé un studio abordable mais en mauvais état, une bite abordée et en bon état !

Quelques jours plus tard, en écoutant mon répondeur, je tombe sur l'agent immobilier qui dit avoir trouvé une solution pour les travaux. Il ne veut pas m'en dire plus au téléphone et me donne rendez vous devant l'immeuble le lendemain.

Vêtue d'une courte jupe (sait-on jamais...) et d'un haut en laine moulant, je me rends au rendez vous fixé. Nous montons et nous asseyons autour de la table. Il sort les papiers de location, il semble un peu tendu. je me demande pourquoi il n'aborde pas le sujet délicat des travaux et pourquoi nous nous voyons dans le studio plutôt qu'à l'agence :

- Bon, j'ai pensé à votre situation... Vous ne trouverez pas mieux dans Paris même, et encore : il y aura toujours d'autres postulants avant vous, comme les premières fois que vous avez visité des logements. Celui ci n'intéresse que peu de monde, à cause des travaux, mais j'ai peut être une idée. Les murs sont partiellement à replâtrer et à repeindre, et le lino au sol à changer, mais c'est à la portée de n'importe quel bricoleur amateur qui dispose d'un peu de temps. Alors, je me disais... que... si ça vous convient... , je suis prêt à vous aider. Enfin, à vous remettre l'appart en état correct. Le propriétaire vous remboursera, mais je peux faire le reste.

Je suis un peu surprise, je ne m'attendais pas du tout à ça ! Cette aide inattendue me ravit bien sur, mais je ne saute pas de joie, j'ai peur qu'il y ait une contrepartie. Peut être qu'il décèle mes doutes, car il me dit aussitôt :

- C'est pour rendre service, et rien d'autre. Je peux passer quand ça vous arrange, après mon boulot. Le soir, ou le week end, j'ai du temps de libre. Je ne vous envahirai pas, c'est juste pour venir en aide, je sais qu'être étudiante, seule sans famille à Paris, ce n'est pas facile.

Il m'explique ensuite ce qui est à faire. Il emploie des termes de bricolage, il a l'air de s'y connaître. Plus que moi en tous cas ! Je finis par peser le pour et le contre et une heure plus tard, de retour à l'agence, je signe les papiers et fournis les documents exigés.

Désormais, je ne vis plus en collocation ! J'ai un bon mois pour m'installer et voir les travaux finis.


Melle C.

Par Melle C. - Publié dans : 4- Mes Aliéné(e)s passé(e)s - Communauté : SM: Domination/Soumission
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 26 août 3 26 /08 /Août 09:00
Après plusieurs déceptions, je tombe enfin sur un studio qui me convient. Seul défaut : les travaux a prévoir ! Avantage : c'est un agent immobilier a la langue agile (épisode 1) qui me l'a fait visiter.


Sa langue inspecte les moindres replis de mon sexe avec une application d'orfèvre, mais j'en veux plus. Après 10 minutes de caresses buccales, je me retourne, lui présente ma croupe :

Il m'attrape par les hanches, libère sa queue que je distingue en me tordant le cou : elle est plutôt petite, mais très large. Je n'en demandais pas tant ! Le temps d'enfiler un préservatif, et le voila se frayant un passage entre mes cuisses. Mouillée comme je suis, il rentre du premier coup et se met a me ramoner consciencieusement, toujours en me tenant par les hanches. Je me sens littéralement farcie par sa bite, j'ai l'impression que ma chatte va éclater : jamais je n'ai vu de bite si épaisse, je me délecte de ces vas et viens ! J'écarquille les yeux, comme pour mieux élargir ma chatte. Je suis vraiment comblée...

J'essaie de retenir mes soupirs et mes cris : si jamais je loue ce studio, je ne veux pas que les voisins me prennent pour une traînée ! Je mors mes lèvres, halète comme une chienne, grogne le plus possible en silence, jusqu'à l'orgasme. Affalée sur le sol, je reprends mon souffle, me réajuste, essuie mes cuisses et fiche un mouchoir dans ma chatte. Lui se rhabille, puis nous redescendons sans dire un mot.

Nous n'osons pas vraiment nous regarder, jusqu'à ce que nous rentrions a l'agence. Nous ne sommes plus seuls, et la gène semble dissipée. Je lui explique que je ne suis pas capable de faire les travaux, et que je n'ai pas d'homme sous la main. Je finis par m'en aller, mi figue mi raisin : heureuse de ce coup de bite inopiné, mais toujours sans appartement pour la rentrée...

Melle C.




Par Melle C. - Publié dans : 4- Mes Aliéné(e)s passé(e)s - Communauté : SM: Domination/Soumission
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Lundi 24 août 1 24 /08 /Août 09:00
L'année universitaire s'était écoulée doucement, je me mis a la recherche d'un appartement : la collocation n'était pas mon fort, j'ai horreur des beuveries et autres regroupements d'étudiants jusque tard dans la nuit. J'aime mon confort, et préserver mon intimité loin de toute agitation. Il me fallait mon chez moi.

Des fin Juillet, je m'attelais a ma recherche, car elle était loin d'être simple : je voulais quelque chose de plus grand qu'un placard, dans un quartier sans histoires, et un loyer convenable : autant dire, une épingle dans une meule de foin ! Je n'avais pas le temps d'écrémer et d'appeler toutes les petites annonces, je passais donc par une agence.
Je détaillais ma recherche a l'employée qui me reçue et nous primes rendez vous quelques jours plus tard, pour visiter une dizaine de studios. Ceux qui me convenaient étaient pris d'assaut par une vingtaine de postulants avant moi : trois semaines plus tard, je n'avais toujours rien trouvé. L'idée de co-louer encore un an m'était insupportable et l'agent immobilier ne se foulait pas : en me trouvant un appartement, elle ne gagnerait que quelques centaines d'euros, autant dire, une misère : pourquoi se décarcasser, alors ?

Je changeais d'agence, tombais sur un homme fort sympathique et à l'écoute de ma requête. Une semaine plus tard, je visitais une ribambelle de biens accompagnée de 9 autres étudiants en quête d'un toit. Soit j'arrivais trop tard, soit les studios n'étaient pas dans mes moyens.
L'agent me rassura et m'affirma qu'il finirait par me trouver quelque chose : sur les 9 autres visiteurs, je voyais bien qu'il s'intéressait surtout à mon cas, j'étais flattée, mais déçue de n'avoir toujours rien trouvé. En rentrant à l'agence, il prit mes coordonnées et promit de me rappeler rapidement.
Bien qu'il semblait sincère, je ne me fis pas de faux espoirs... jusqu'au jour où il me recontacta effectivement : il avait un appartement un peu plus grand, et étonnement dans mes frais. Seul hic, il y avait des travaux à prévoir, et j'étais loin d'être bricoleuse. Je me renseigne alors : ces travaux sont normalement à la charge du propriétaire, mais comme ils sont âgés et loin de Paris, ils préfèrent louer moins cher et rembourser les travaux effectués.

J'étais seule au moment de la visite. Les sols et les murs du studio étaient assez abîmés, j'étais assez déçue jusqu'à ce qu'il m'apprenne que les combles communicants étaient compris dans le prix ! Toute excitée de cette bonne nouvelle, je ratais la marche qui menait aux combles, il me retint par la hanche. En une fraction de seconde, je sentis son bassin et sa bite contre mes fesses. Je restais dans cette position, me cambrant même un peu plus, pour mieux sentir son sexe. J'avais chaud, je vacillais sur mes talons et cet homme pressait sa bite tout contre mon cul.

Il prit l'initiative de passer sa main entre mes cuisses : j'avais une jupe longue en soie qui me donnait un air très sage. Il ne se laissa pas impressionner et commença à masser ma chatte à travers ma culotte. J'étais trempée et je me cambrais un peu plus, pour mieux sentir son pieu. Quelques secondes plus tard, j'étais allongée sur le  sol, sur sa veste qu'il avait pris soin de déposer sur le plancher. Genoux relevés, il me léchait avec application, je n'avais qu'à me laisser faire : j'étais une friandise qu'il dégustait...

Melle C.
Par Melle C. - Publié dans : 4- Mes Aliéné(e)s passé(e)s - Communauté : Dominatrice BDSM
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés